750 grammes
Tous nos blogs cuisine Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 08:11

DSCF7241.JPG L'Autre aime bien les mangues. L'Autre, en fait, raffole des mangues et pleure toutes les larmes de son corps parce que "tu comprends, ça n'a jamais le goût de là bas"... Là bas, c'est au Cambodge. (c'est quoi le raccourci clavier pour ce foutu smiley qui lève les yeux au ciel???). Pour faire plaisir à l'Autre, je voulais lui faire du magret à la mangue... J'ai pas eu le temps, et la mangue, ça s'abîme vite. D'où un milk-shake à la mangue au brunch dominical... (mais la mangue aura-t-elle sa revanche, parviendra-t-elle à épouser Mr Bingley le magret de canard? Le suspense est terrible... La suite au prochain épisode de Rujha Cuisine. Tantan.)

- 1 mangue archi mûre

- 2 dl de lait

- 3 cs de glace whatsoever (là j'avais du cookie dough vanilla Haagendaz)

- 1 cc de sucre brun (facultatif)

 

Peler la mangue à l'économe, couper des lamelles jusqu'à arriver au noyau qu'il faut bien racler avec un couteau pour en extraire tout

Tout passer au blender.

Laisser au frigo jusqu'au moment de servir.

Partager cet article

Repost0
19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 15:02

DSCF7238.JPG Dans la famille Rujha, le brunch du dimanche midi matin est une tradition... Que ce soit le fameux milk-shake à la banane ou la potion magique de Maman Rujha, les croissants jambon-gruyère au four de Sally, un fond de pates,une part de tourte, un bout de cote de boeuf froide avec de la moutarde, des pancakes ou encore du yaourt maison... Mais il y a un indétronable, le seul, l'unique, le vrai : le pain perdu. Celui qu'il y a tellement de grains de sucre dedans que ça brille de mil feux sur la photo. Farpaitement. (les pommes sont facultatives)

 

- 1 douzaine de tranches ou de bout de pain plus ou moins rassis

- 1/2 verre de lait (entier si possible)

- 1 pomme

- sucre brun 

- 4-5 oeufs

- beurre demi-sel

 

Faire griller le pain au grill au four ou au grille-pain s'il n'est pas suffisamment dur et rassis.

Emincer en bouts minuscules une pomme pelée et débarassée de son trognon.

Battre dans une jatte le lait et les oeufs avec une petite cuillère à soupe de sucre jusqu'à obtenir un mélange mousseux et homogène. Ajouter la pomme.

Faire fondre 1 beau morceau de beurre dans une grande poêle et saupoudrer de 2 cs de sucre.

Pendant ce temps là à Ganagobie, faire tremper et imbiber le pain dans la préparation aux oeufs.

Quand le beurre est bien chaud, déposer les tranches de pain dedans. Quand le dessous est bien doré (voire bien brun, je préfère) et caramélisé, saupoudrer de sucre et retourner. Verser le reste de préparation dans la poêle et refaire griller/dorer/caraméliser (pas de mentions inutiles).

Servir immédiatement avec une boisson chaude non sucrée.

Partager cet article

Repost0
19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 09:19

Encore du rose...

 

PICT0077-copie-1.JPG

 

Ingrédients pour 2 personnes :

20 g de bolets séchés

1 ⁄2 cs d’huile d’olive

200 g de marrons

2 cs de purée de tomates

 

6 dl d’eau

1 cc de grains de poivre vert en saumure

sel

1 cs de baies de genièvres écrasées

1 ⁄2 dl de demi-crème

1 cs d’airelles (en confiture hein c’est plus simple)

 

Faire tremper les bolets 15 minutes dans de l’eau chaude, les égoutter puis les couper grossièrement.

 

Faire chauffer l’huile et y faire revenir les bolets. Ajouter les marrons et la purée de tomates. Cuire pendant 3-4 minutes.

 

Rincer les grains de poivre à l’eau froide, les mettre dans le potage et saler. Ajouter les baies de genièvres.

 

Ajouter le bouillon et l’eau, porter à ébullition puis laisser mijoter à couvert 20 minutes.

 

Planter sauvagement le bâton mixeur dans la tambouille et redécorer sa cuisine mouliner en douceur les marrons et bolets.

 

Pendant ce temps-là, demander à La Perle de fouetter la demi-crème et de la mélanger avec les airelles. Je pense ceci dit que c’est 1) faisable soi-même quand on n’est pas une maudite de la chantilly 2) éventuellement mieux avec un Kisag…

 

Suivant comment, on se retrouve avec une purée ou un potage. Dans les deux cas, on dresse dans les assiettes avec un nuage de chantilly aux airelles et on se régale !

Partager cet article

Repost0
18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 10:34

DSCF7229.JPG Je suis en retard, en retard, en retard ! Donc trèfle de manières, une recette sans façon ni présentation !

 

- 80 gr de roquefort

- 3 cs de moutarde mi-forte

- 1,5 cs de crème fraîche épaisse (allégée, si on veut)

- 1 jus de citron

- 150 gr de thon au naturel égoutté

 

Mixer le tout !

Réserver au frigo.

Possibilité de stériliser en conserve, si jamais.

Partager cet article

Repost0
17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 15:20

DSCF7231.JPG Je pourrais déblatérer cent ans sur l'histoire du pot au feu, sa richesse, sa variété, sa pauvreté ou son coût, son goût surtout, ses typologies de viande (une maigre, une grasse, une gélatineuse), des débats sans fin sur ses épices, ses légumes. Allez plutôt chez Bocuse pour ça.

Moi, le pot au feu, c'est des souvenirs d'enfance, de ma grand-mère, qui ne le cuisinait pas mais qui nous emmenait dans des petites gargottes le manger le dimanche. C'est des souvenirs d'une comptine pour enfants marrante qu'on chantait avec ma meilleure amie de primaire, avec plein de potes dedans.

Parce que finalement le pot au feu, tout le monde en fait, et tout le monde différemment, que ça soit une recette piquée sur internet ou transmise soigneusement en famille, de placard en tiroir, dans un carnet en toile vernie avec des pages maculées écrites à la main. Le pot au feu in fine, c'est juste un souvenir. 

 

- 1 kg de jarret de veau

- 500 gr de joue de boeuf (le truc un peu beurk plein de picots blancs sur la photo là)

- 700 gr de plat-de-côte

- 8 carottes

- 2 poireaux

- 5-6 pommes de terre

- 3-4 navets

- 1 bouquet garni (celeri, persil, laurier, herbes de provence)

- 2 oignons

- clous de girofle

- 3-4 os à moelle

- 5-6 dents d'ail

- gros sel

 

La veille, porter 4-5 litres d'eau salée avec la viande à ébullition, laisser cuire 1h30 à frémissements avec du gros sel, du poivre et le bouquet garni. (Bon après chacun son église, qui veut les saveurs de la viande, la fait cuire en partant en eau froide, qui veut les saveurs des légumes, fait cuire la viande en partant en eau à ébullition).

Faire cuire les pommes de terre (épluchées ou non, au choix) et les os à moelle enveloppés dans du papier aluminium (ou de la gaze, pour les puristes) dans de l'eau salée, pendant 1h. Réserver.

 

Peler carottes et navets, couper en morceaux grossiers. Nettoyer les poireaux et ne garder que le blanc avec un peu de vert (généralement, j'émince le reste et je le congèle pour un autre plat).

Peler les aux et les laisser entiers, et éplucher les oignons qu'il faudra piquer de quelques clous de girofle.

 

Dans la cocotte ou le faitout où la viande a cuit, ajouter les légumes (carottes, poireaux, navets, ail, oignons) et laisser cuire pendant 2h à petits bouillons.

En fin de cuisson, placer les pommes de terre et les os à moelle égouttés dans le plat pour les réchauffer.

Dresser un plat chaud avec les viandes et les légumes, les pommes de terre et les os à moelle. Servir le bouillon chaud à part. Accompagner avec du pain de bonne qualité, grillé ou non, des oignons grelots marinés, des cornichons à la russe, différents types de moutarde, du gros sel évidemment, voire de la sauce à la menthe ou des confitures de fruits rouges.

Servir avec un bon côte du rhône ou un madiran.

Partager cet article

Repost0
17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 10:40

DSCF7220.JPG En un mot comme un sens, c'est la semaine de la courge, on l'aura deviné.

Je disais hier que jeter ses graines de butternut (ou what so ever courge), c'était mal. Et je suis pas méga fana des chips et autres cacahouètes (sauf avec du fernet branca) alors que la graine de courge c'est sain, vitaminé, diététique (et souvent trop salé dans le commerce), et oui. C'est rapide et facile à faire, et je ne comprends pas les gens qui se font ch... suer à les décortiquer. Mais bref. ça me laisse pantoise, comme dirait l'autre. (l'autre avec un petit a, c'est Carmen Cru ; pas l'Autre avec un grand A, qui est mon amoureux, faut suivre un peu.)

 

- des graines de courge récupérées

- sel

- vinaigre (de chêne, mais je suis sûre que ça doit pas être dégueu avec du balsamique ou du framboise, allez)

 

Faire tremper 24 h ses graines dans un verre avec 2 cc de sel et 3 cs de vinaigre et le reste d'eau afin que le verre soit plein aux deux tiers.

Egoutter soigneusement mais sans toucher les graines.

Etaler sur une feuille de papier sulfurisé.

Mettre 20 mn au gril au four.

Les décoller du papier et les réserver pour l'apéro dans un pot sec hermétique, au sec et à l'ombre.

Je sais pas combien de temps ça se conserve. Plusieurs semaines, je dirais. :)

Partager cet article

Repost0
16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 18:09

DSCF7216.JPG Bon. Alors, y a toujours le jeu de mots débiles, hein, hachis / gachis. Mais faut dire que j'aime pas ce mot, "hachis". Il a pas les bonnes couleurs. D'où acte. Ce sera parmentier de butternut, hein, avec des couleurs bien françaises, bleu et rouge, et la butternut, orange hein, comme son nom ne l'indique pas.

 

- 1 butternut d'environ 1 kg

- 3 pommes de terre de taille moyenne

- 700 gr de viande de veau hachée

- chapelure

- parmesan

- 2 oignons

- 3 dents d'ail

- 3 cs de crème épaisse

- 40 gr de beurre salé

- paprika, muscade, herbes de provence

 

Peler les pommes de terre et la courge, sans oublier d'évider cette dernière (et je conseille de conserver les graines, j'expliquerais pourquoi prochainement). Couper en gros morceaux et faire cuire à la vapeur.

 

Pendant ce temps là à Pétrograd... Faire fondre les oignons dans un filet d'huile d'olive, puis ajouter la viande. Saler, poivrer, 1 cs d'herbes de provence. Réserver quand le jus a bien commencé de réduire.

 

Séparer pommes de terre et butternut.

Ecraser les pommes de terre avec la crème, du sel, du poivre et de la muscade au goût. Réserver.

Ecraser la courge avec le beurre. Ne pas assaissonner, comme ce sera la couche inférieure, elle va absorber les sucs de la viande.

 

Faire le montage dans un plat allant au four : 1 couche de courge, 1 couche de viande, 1 couche de pommes de terre. Soit on fait 3 grosses couches et c'est marre, soit on se la joue Bocuse et on fait autant de couches qu'on peut, ie qu'on à de quoi (mais il faut finir par une couche de pommes de terre, faut pas déconner).

Faire des rayures sur le dessus et parsemer de chapelure et de parmesan (ou de gruyère, mais j'avais pas de gruyère suisse sous la main, et franchement le gruyère normal... sans intérêt.)

Au four, à 120°c pendant une heure, puis un petit coup de grill 10-15 mn en surveillant.

Servir avec un vin léger, un petit macon ou un cote de provence (nous, c'était des cotes du tricastin, en l'occurence).

Partager cet article

Repost0
15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 17:11

PICT0078.JPG

Ingrédients :

1 potimarron (je sais je sais : pas vraiment une courge)

1 petite racine de gingembre frais, pelée et écrasée

2-3 doigts de galangal, étêtés et coupés en deux

2 bâtonnets de citronnelle, épluchés et coupés en tronçons grossiers

½ tasse de coriandre fraiche, hachée

½ tête d’ail écrasée

1 piment rouge, haché

1 citron vert, pressé

½ litre de lait de coco

100 g de fromage rapé

Bouillon cube

 

Peler et découper le potimarron en cubes.

 

Dans un faitout, faire bouillir le lait de coco, y ajouter la courge et toutes les épices, citron compris, puis un bouillon cube.

 

Attendre que la courge soit cuite, environ 20 minutes. Pendant ce temps, là allumer son four à 180° (Quelle organisation de folie !). On peut aussi goûter ce qui cuit et rectifier l’assaisonnement aussi…

 

Sortir la courge du faitout à l’écumoire et la placer dans un plat à gratin. Prendre bien soin de retirer la citronnelle et le galangal (personne n’aime se planter ces machins dans le palais et encore moins croquer dedans).

 

Une fois le faitout vide, récupérer un peu du fond de la sauce pour le remettre sur le gratin, toujours en évitant le galangal et la citronnelle.

 

Parsemer de fromage rapé (bon ok répandre ½ kilo de fromage rapé) et enfourné 20 minutes (jusqu’à ce que la masse de fromage soit bien dorée quoi).

Partager cet article

Repost0
13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 12:59

DSCF7164.JPG Un plat qui fait agoniser... de chaleur !

 

- 800 gr de palette de porc (si elle est fumée, c'est encore mieux) (ça marche aussi, avec du bête paleron de boeuf ou de taureau)

- 1 litre de vin rouge (de préférence lourd, dense et corporeux)

- 1 litre de purée de tomates

- 1 bouquet garni

- 1 oignon

- 5-6 dents d'ail

 

Faire dorer la viande et l'oignon émincé dans un filet d'huile d'olive au fond d'une cocotte.

Couper les carottes grattées en rondelles très fines. Les ajouter dans la cocotte. Saler, poivrer.

Ajouter le reste des ingrédients, soit le vin, le jus de tomates, l'ail épluché, le bouquet garni.

Fermer la cocotte, la placer sur feu doux et compter 3h minimum (5h, c'est mieux).

Servir avec des grosses pâtes artisanales saupoudrées de persil et d parmesan.

 

Une bouteille du même bon vin pour accompagner le repas serait une bonne idée. Il faut bien garder en tête que pour faire une bonne daube, il ne faut pas de la piquette... et oui.

Ah et encore une chose, se resservir de ce plat est une erreur. La seconde assiette, c'est souvent l'assiette de trop, de ce plat qui donne souvent chaud.

Bon appétit ! :D

Partager cet article

Repost0
12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 08:18

En fait, ce sont des Penne au pesto, crevettes et pignons à manger donc après la salade d'avocats-crevettes bien sur!

 PICT0076.JPG

Ingrédients pour 2 personnes :

½ sachets de pignons de pin

150 g de crevettes cuites

200 g de pâtes complètes

3 cs de pesto

30 g de Sbrinz ou parmesan râpé

1-2 dl de crème liquide

Basilic

Poivre

 

Griller les pignons à la poele et les réserver.

 

Cuire les pâtes « al dente », les égoutter, les remettre dans la casserole à u doux et ajouter le pesto. Ajouter une tombée de crème suivant qu’on veut une sauce liquide ou sèche.

Bien remuer et rajouter au goût du basilic et du poivre.

 

Ajouter les crevettes. Bien mélanger.

Ajouter les pignons et le Sbrinz. Continuer à mélanger jusqu’à ce que le tout ressemble à une cacabouillasse fromagée-fondue-pignonnée, mais définitivement verte et rose (enfin rose, faut enlever le pesto des crevettes quoi... Comment ça "mavaise foi"?).

 

C’est prêt !

 

(Je ferais bien un jeu de mot sur penne = pine en italien, mais j'en sais rien... Donc pas de "saviez-vous" pour moi hélas. On se contentera d'un "Avez-vous déjà vu?"... des filles aussi mordues de rose et vert... Non? Ben maintenant si!)

Partager cet article

Repost0

Présentation

  • : Rujha cuisine
  •  Rujha cuisine
  • : Un blog de recettes par deux jumelles obsédées par la bonne chère et la cuisine, passion familiale cultivée avec amour et fanatisme sous la bonne étoile de Mamie Joe.
  • Contact

Texte Libre

Site Meter

Recherche

Archives